VOUS REPRENDREZ BIEN UN PEU DE LIBERTÉ…

LE GRAT / CIE JEAN-LOUIS HOURDIN

Théâ
tre

D’un côté, Marivaux – de l’autre, Naomi Klein. D’un côté, L’île des Esclaves, fantaisie théâtrale dans laquelle les maîtres deviennent laquais. De l’autre, La stratégie du choc, un essai sur l’ultralibéralisme d’aujourd’hui. Ces deux “fables” tragi-comiques, voire surréalistes, sont incarnées par une bande joyeuse et turbulente de saltimbanques menée par Jean-Louis Hourdin. Ce véritable chef de troupe conçoit ses spectacles comme une aventure à partager avec le plus grand nombre. Avec cette dernière création poétique et politique, il réveille en fanfare nos consciences.

Chef de troupe Jean-Louis Hourdin Compagnon artistique Ivan Grinberg Musique Karine Quintana Lumière Mathilde Chamoux Décor Catherine Rankl Costumes Marie Meyer Avec Léon Bonnaffé Priscille Cuche Lucie Donet Stéphanie Marc Karine Quintana Laurent Ziserman

DISTRIBUTION

Chef de troupe Jean-Louis Hourdin

Compagnon artistique Ivan Grinberg

Musique Karine Quintana

Lumière Mathilde Chamoux

Décor Catherine Rankl

Costumes Marie Meyer

Avec
Léon Bonnaffé
Priscille Cuche
Lucie Donet
Stéphanie Marc
Karine Quintana
Laurent Ziserman

MENTIONS

Production GRAT-Cie Jean-Louis Hourdin

Coproduction Saint-Gervais Genève Le Théâtre

Le Grat-Cie Jean louis Hourdin est subventionné par la Drac Bourgogne

Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National, le soutien de l’Adami du Conseil régional de Bourgogne et du Conseil Général de Saône et Loire

EXTRAIT DE PRESSE

Un projet audacieux, qui s’appuie sur deux oeuvres cultes dont on n’imaginait pas qu’elles seraient associées de sitôt. L’île des Esclaves de Marivaux et La Stratégie du Choc de Naomi Klein traitent tous deux de la lutte des classes, c’est vrai. Mais la ressemblance entre les deux ouvrages s’arrête là, l’un est une fable comique basée sur le renversement temporaire des équilibres, l’autre un travail documentaire qui établit des rapports de force profondément enracinés.

[…] le spectacle est gentiment chaotique, l’humour omniprésent, et le quatrième mur n’existe que pour être brisé par les comédiens. Autant de moyens de faire réagir le public et d’aller vers ce que Jean-Louis Hourdin résume joliment comme « une fête de la pensée pour ouvrir nos intelligences » Ouest France