KISS & CRY

danse - Vidéo
MIChèLE ANNE DE MEY / JACO VAN DORMAEL

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Sur un quai de gare, une femme tente de se souvenir des personnes aimées et égarées dans les petits trous de sa mémoire. De son premier et éphémère amour, nulle trace de visage ou de nom, mais une main. À partir de cette idée simple et belle comme la poésie, le duo de créateurs a imaginé bien plus qu’un spectacle. Une chorégraphie pour cinq doigts, un film en train de se faire sous vos yeux, une plongée insensée dans la mécanique du rêve. Un objet poétique bouleversant et fragile comme un souvenir.

Pure magie, pur bonheur (…) ce spectacle étonnant, à nul autre pareil, mélange de poésie et de magie, de cinéma et de danse des doigts. Une pleine réussite aux yeux de tous ceux qui gardent en eux encore un peu de leurs rêves dʼenfants. Guy Duplat, La libre Belgique

Constamment surprenant Kiss & Cry est un pur moment de bonheur, un petit miracle de création collective à l’heure de l’individualisme forcené. C’est aussi une belle réflexion sur nos souvenirs avec des images fortes comme ces personnages qui disparaissent littéralement dans des trous de mémoire. Un mélange de mélancolie, dʼhumour, de poésie qui fait du bien à lʼâme et aux neurones. JEAN – MARIE WYNANTS, LE SOIR

Kiss & Cry décompose le discours amoureux en chorégraphies ténues ou puissantes, mais toujours minuscules. Le spectaculaire par l’infime. (…) Avec cette « nanodanse », ou danse de doigts, la chorégraphe belge Michèle Anne De Mey exprime délicatement son goût du pas de côté, de l’aventure minutieusement décalée. Emmanuelle Bouchez, Telerama

Itʼs simply the most magical performance Iʼve seen in a long, long time. Fingers, miniature train sets and film cameraʼs. It should be a worldwide hit.
HANS-MAARTEN POST, UTOPIA PARKWAY

Maintaining an audienceʼs attention on a pair of dancing hands for 90 minutes is no small task. Incredibly Kiss & Cry – Nanodanses left the audience wanting more; the performance received a standing ovation so loud and prolonged it became almost oppressive. INDIA STOUGHTON, THE DAILY STAR

Spectacle éblouissant où le public assiste, ébahi, à lʼenvers du décor, au « making off » en direct dʼun film teinté de poésie. (…) À la manière du grand Méliès, Kiss & Cry évoque la magie du cinématographe en rendant également hommage à toutes ces petites mains habiles qui participent à donner vie à lʼimage tout en donnant corps aux émotions. COLETTE KHALAF, LʼORIENT LE JOUR

Un véritable tour-de-force pour ce qui en est de la manipulation de la caméra, on se croirait dans un film Hollywoodien au budget illimité, format miniature.
OLIVER KOOMSATIRA, DANSE NOUVELLES MONTREAL-DANCE NEWS MONTREAL

C’est magique, parce que dans la magie «il y a un truc». Et ici, il y a, derrière l’épopée enivrante qui nous est racontée, des centaines de trucs géniaux, et si génialement maîtrisés que la technologie, la complexité, la parfaite orchestration de l’équipe, s’effacent finalement au profit de l’émerveillement.
ALINE APOSTOLSKA, LA PRESSE

Le plaisir de voir la retenue du corps des danseurs, confinés à ne bouger, si précisément, que les doigts, de les voir évoquer, avec leurs seules phalanges, un macrocosme, est très grand. CATHERINE LALONDE, LE DEVOIR

Kiss & Cry présente la main avec érotisme, sensualité, émotion et intensité dramatique. Ajoutez à celle-ci un paysage fabuleux de jeux Playmobils et de personnages miniatures et vous en obtiendrez un chef-dʼœuvre tragique digne des meilleurs acteurs.(…) Cʼest de lʼémotion pure avec une touche dʼhumour qui naît de la rencontre entre danses de doigts et jeux de plastique enfantins. Lʼanalyse cérébrale ne vient que bien après la pièce, tant notre âme se trouve transportée durant la représentation. À deux doigts de pleurer, on demeure à fleur de peau (de mains) du début à la fin.
JEANNE DAGENAIS-LESPERANCE, DANSE DANSE

Un conseil : courez-y avant de rater le train…
LE MAGAZINE DE LA DANSE ACTUELLE A MONTREAL

DISTRIBUTION

Idée originale Michèle Anne De Mey, Jaco Van Dormael
Chorégraphie et NanoDanses Michèle Anne De Mey, Gregory Grosjean
Mise en scène Jaco Van Dormael
Texte et scénario Thomas Gunzig, Jaco Van Dormael
Lumières Nicolas Olivier
Image Julien Lambert
Décors Sylvie Olivé
Design sonore Dominique Warnier
Son Boris Cekevda
Construction et accessoires Walter Gonzales, Amalgame – Elisabeth Houtart, Michel Vinck
Avec Bruno Olivier, Gabriella Iacono, Pierrot Garnier

MENTIONS

Production Charleroi Danses, Centre chorégraphique de la Fédération Wallonie-Bruxelles / Le manège, Mons, Centre Dramatique
Coproduction Les Théâtres de la Ville de Luxembourg