MÉLANIE DE BIASIO

LILIES

Musi
que

Entre jazz et pop aérienne, vertige de liberté.
C’est pour ce genre de miracle renouvelé que l’on écoute de la musique. Lorsque Melanie De Biasio publie No Deal voici quelques années, le bruit se répand comme une traînée de notes bleues : une musicienne et chanteuse proposait un monde aussi intense que celui de Nina Simone, aussi aventureux que celui de John Coltrane, aussi intime qu’une ballade de Robert Wyatt. Ses concerts se révèlent à la hauteur des attentes : prise de risques et incandescence maximales, mise en lumière envoûtante. À l’heure de reprendre la route avec les compositions de son tout nouvel album, la chanteuse n’a rien perdu de son goût du risque et du vertige. Si certains de ses nouveaux morceaux pourraient aisément accompagner le générique du prochain James Bond, tant ils sonnent comme des hymnes pop symphoniques, Melanie De Biasio chante toujours au plus près de nos âmes et de nos corps, faisant de son propre souffle un instrument de génie. No Deal, toujours.

LA PRESSE EN PARLE

Le blues Puissant et gracieux de la chanteuse belge caresse autant qu’il émeut. […] Ambiances bleutées, blues minimal et désolé. Comme sur scène, il se trame entre la chanteuse et ses trois musiciens un jeu d’ombre et de lumière. Un piano tombe en gouttes, un battement sourd, des doigts claquent. Les sons des instruments sont des ressorts ou des rumeurs, la voix louvoie entre eux comme se confiant à un journal ­intime qu’elle sait pourtant exposé. ­Mélanie De Biasio fait partie de ces ­artistes rares qui savent trouver la note juste entre le personnel et l’universel. TÉLÉRAMA

Depuis ses débuts, Mélanie de Biasio échappe aux classifications d‘usage. Cette musicienne belge produit une œuvre unique, mélancolique et belle. FRANCE INTER

La chanteuse et flûtiste belge convoque moins son public à un concert qu’à un envoûtement collectif, lentement préparé dans une atmosphère nocturne où flottent des volutes de trip-hop et un soupçon de pop exsangue à l’ambiguïté toute lynchienne. C’est beau et intense, singulier sans bizarrerie exagérée, comme un voyage au bout de la nuit qui se terminerait sur une splendide aurore. TÉLÉRAMA SORTIR

DISTRIBUTION ET MENTIONS

Chant et flûte Melanie De Biasio
Batterie Alberto Malo
Piano Pascal Mohy
Piano, guitare Pascal Paulus 

 

 

 

GARDERIE

LE VENDREDI 1er FÉVRIER À 20h30 Garderie