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ANNULÉ
Quand la soul rencontre les maîtres tambours de Brazza. Kikulu, en langue Kongo, c’est l’énergie du dépassement de soi tout en conservant l’essence des origines… Si Émile Biayenda a voulu baptiser Kikulu le nouveau spectacle des Tambours de Brazza, c’est probablement en jetant un oeil amusé derrière son épaule tout en se demandant comment vingt-cinq années ont pu passer en un éclair. Vingt-cinq ans d’existence pour un groupe imaginé lors d’ateliers dans les quartiers à Brazzaville qui devient un succès phénoménal. Autant d’années passées à électriser les publics les plus larges autour d’un son unique mêlant polyrythmies, soul, afrobeat, ragga et soukouss. En chef d’orchestre bienveillant, installé derrière ses toms de batterie, Emile Biayenda dirige le sourire aux lèvres son gang de maîtres tambours installés en cercle magique. Les tambours traditionnels N’gomas accrochés à la ceinture, les percussionnistes se défient jusqu’à la transe tandis que les voix leur répondent et apaisent. Dansez, chantez, osez, les Tambours de Brazza s’occupent du reste.
LA PRESSE EN PARLE
L’impression de puissance qui se dégage provient des tambours, bien sûr, mais aussi –et c’est nouveau – des guitares saturées et de ces distorsions hurlantes, arrangées par le Togolais Amen Viana, fils spirituel de Jimmy Hendrix (son dernier album s’appelle Electric Togoland !). RFI MUSIQUE
Torse nu, lis chevauchent leur ngoma, cet imposant tambour sacré qui leur arrive, au poitrail: l’arc de cercle formé par les huit batteurs-danseurs, rompus aux acrobaties percussives rituelles pygmées comme aux voltiges urbaines du hip-hop, donne le ton de ce show athlétique à la croisée des genres. TÉLÉRAMA
DISTRIBUTION
Émile Biayenda Batterie
Philippe Parant Guitare
Julio Rakotonanahary Basse électrique
Soli Matsimba Chant
Ghislain Makoumbou, Pierrick Nzoungani, Gabriel Banoma, Rostant N’ganga, Vivien Mbizi, Bertrand Kikonda Maîtres tambours solistes, danseurs
Régisseur son Titian Parrot
Production Maïté – LMD