Musi
que
La rencontre miraculeuse de l’année. C’est à chaque fois avec la fébrilité du débutant que certains virtuoses se lancent dans des projets collectifs poétiques, sans autre ligne directrice que l’insatiable appétit d’imaginer. Le projet Camara pop réunit trois musiciens hors pair. Il y a Tomás Gubitsch, un guitariste et improvisateur argentin formé auprès d’Astor Piazzolla et reconnu comme le dynamiteur en chef du tango contemporain. Il y a Vincent Ségal, l’homme qui fait murmurer son violoncelle à l’oreille d’artistes tels que Sting, Elvis Costello, Ballaké Sissoko ou Cesária Évora. Et il y a Sébastien Surel, l’un des violonistes concertistes classiques les plus aventureux de sa génération. Cela fait déjà quelques années que ces trois amoureux du risque se retrouvent autour de leurs propres compositions et de celles de Thelonious Monk, Charlie Chaplin ou Hermeto Pascoal. Assister à l’un des concerts de ce trio est un privilège rare. Le privilège de s’approcher aussi près que possible de l’essence même de la vie de musicien. On court à l’Espace Prévert !
A l’espace Prévert de Savigny-le-Temple
LA PRESSE EN PARLE
Une rencontre apparemment improbable. Trois personnalités et trois voix – aussi singulières que peuvent l’être celle du violon de Sébastien, celle du violoncelle de Vincent et de la guitare éclectique de Tomás – réunies autant par leurs multiples territoires musicaux communs que par leurs différences et spécificités. RFI
DISTRIBUTION
Violoncelle Vincent Ségal
Violon Sébastien Surel
Guitare Tomas Gubitsch