Musi
que
Alexandre Tharaud a décidé de s’attaquer à nouveau à la montagne Beethoven. Avec ses trente-deux sonates qui jalonnent près de trente années de son existence, Beethoven a livré l’un des corpus les plus importants de toute l’histoire de la musique pour piano. L’éblouissant triptyque que sont ses dernières sonates – n°30 op. 109, n°31 op 110 et n°32 op 111 – appartient à la grande période créatrice de Beethoven. Visionnaire, le compositeur s’affranchit de la forme traditionnelle et gagne en liberté d’écriture, faisant appel à la fugue, à la variation, aux contrastes et aux oppositions les plus saisissantes.
Pianiste d’exception, Alexandre Tharaud, soliste de grands orchestres internationaux, récompensé à plusieurs reprises — dont le Grand Prix de l’Académie Charles-Cros ou les Victoires de la musique classique — nous livre une interprétation à la hauteur du génie créatif de Beethoven.
Site de l’artiste
PROGRAMME
Beethoven sonate n°30 op. 109
Beethoven sonate n°31 op 110
Beethoven sonate n°32 op 111
LA PRESSE EN PARLE
Une interprétation d’une grande profondeur derrière sa ligne claire.
La Croix
« L’émotion ne surajoute pas à la musique. Elle en émane tout simplement.
Serge Chauzy, Classic Toulouse
Rien ne semble laissé au hasard mais le climat d’improvisation est partout, la virtuosité aussi, rehaussé par le sens de la couleur qui caractérise l’artiste.
La Libre Belgique
Un artiste hors norme, enchanteur du clavier et amateur de chemins de traverse.
Bertrand Dermoncourt, Classica
La force qui taraude Alexandre Tharaud, c’est bien sûr, d’abord, son style de jeu, à la fois ferme et délicat. Cette manière de chahuter le clavier avec vigueur, de le pétrir en profondeur, tout en conservant une ligne d’une absolue clarté, en y déployant un chant qui fait toujours sens.
Sébastien Porte, Télérama